Si je comprends bien, c’est comme Nanarland (merci à Refuznik Mémère de nous le faire découvrir dans sa réponse à De Guello ci-dessus), sauf que chez Daubresse, le carton-pâte ridicule et verdâtre, il est fabriqué avec nos vies — ce qui fait qu’il est facile de critiquer le second, alors que Nanarland, faut être balèze (gniark).
« Lâche ton témoignage ! ». On dirait l’encouragement affectueux de Maman pour persuader d’aller au popo : laisse aller... oui c’est bien... fais Ton-Caca sur Mon-Waka (pensée pour Chevillard, dont le pot-de-chambre à roulettes n’a pas remporté le concours (...)