@Pierre Cèpe La « richesse collective vécue de 68 » n’est elle pas complètement surfaite ?
Pour le prolétariat-celui qui n’existe plus- elle se sera terminée par la trahison syndicale et les accords scélérats de Grenelle. Ensuite, dans les années 70, ce même prolétariat-celui qui a disparu dans la nuit brune- va établir pendant une décennie le record de grèves-et de très loin- de toute l’histoire de ce pays.
Comme par hasard ce nombre de grèves va ensuite s’écrouler totalement après la 2e trahison, politique cette fois, de la « victoire de la gauche » en 81.
@tom et Quadru Après, on ne peut que constater (...)