Superbe entretien !
J’aime bien l’analyse des « forces » des individualistes et de leurs apports pour le mouvement libertaire...dommage que certaines limites de leurs positions ne soient pas trop évoqués (chose qui manque d’ailleurs dans le bouquin « Les en-dehors », à mon sens) : moralisme, admiration pour la science et le Progrès (pas partagée par tous, et largement pas spécifique à ce courant), un cynisme bien réel qui peut parfois être glaçant (voir les écrits de Libertad sur les morts nécessaires, etc.).
Les syndicalistes – qui sont à l’époque tous anarcho-syndicalistes, la CGT étant dominée par ce (...)