La première vidéo évoque furieusement des dindes rendues folles par leur existence en batterie. Elle suscite du mépris et un début de colère. La deuxième vidéo évoque des autistes heureux de vivre entre eux, heureux d’être là et n’aspirant qu’à péter dans la soie. Elle suscite du mépris et de la colère, avec en prime une réflexion sur le parallèle qu’il faudrait exposer entre le discours décérébré des acteurs et chroniqueurs de la mode et le discours d’une large frange du personnel politique, celle qui tourne le dos aux réalités et sait que plus c’est gros, plus ça passe. Nathalie Rykiel évoquant ce « Parisian (...)