Cela fait des années que nous sommes nombreux à pointer le danger des communautarismes en soulignant l’évidente volonté de fragmenter ce que les piètres penseurs n’osent plus appeler le « prolétariat »,confondu avec une « classe ouvrière » peau de chagrin. Malheureusement, ce combat contre le communautarisme a lui aussi été pollué par des « républicains » (de droite et de gauche) qui y voyaient un moyen commode de servir leur soupe politique, fondée sur la défense et l’illustration des institutions de notre beau pays, la nécessaire participation au trompe-couillons électoral, la nostalgie du bon vieux temps (...)