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Didier Lestrade : « Aujourd’hui, la seule visibilité gay est celle de la souffrance, de la victime »

samedi 4 septembre 2010 à 16h37, par un-e anonyme

« Etre malade du sida, c’est la dernière chose qui définit mon identité », lançait un personnage dans J’ai horreur de l’amour, le film de Laurence Ferreira-Barbosa. Une réplique que pourrait reprendre à son compte Ninon, l’héroïne de John Berger dans Qui va là ?. « Ce qu’il y a de commun entre un malade du sida et un SDF, c’est la tentation qu’ont les autres de les pousser vers le ghetto. Le travail de l’écrivain, c’est de rendre beaucoup plus difficile cette ghettoïsation, en montrant qu’il n’y a pas un “eux” et un “nous”. En combattant les clichés... Et en nettoyant les mots. Roland Barthes, qui est un (...)


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