C’est joliment dit. Et tout à fait vrai : pas grand chose à voir entre des feux de poubelles et une vraie grève, avec ce que ça implique de risque et retenue salariale.
Reste la joie, comme tu soulignes. Au sens où : la rue de la Roquette, c’était vraiment pas grand chose, mais toujours mieux que rien, que le silence et l’abattement, que la résignation et la fatigue.