Je sais pas comment appeler ça :
Déjà, le fait de parler de l’horreur à tout bout de champ, quand 100 types sont morts -c’est triste pour eux, c’est pas la question- Alors qu’il y en a 2500 fois plus en Syrie, 5000 fois plus en Irak, etc. Je te parle même pas du reste. Moi j’arrive pas à me mettre en tête qu’une vie de bobo parigo vaut 5000 fois celle d’un Irakien. Ça rentre pas.
Et les leçons, mon dieu ! L’obligation de reconnaître l’horreur, l’obligation de dire que, oui, on est horrifié, terrifié, ulcéré, etc. Pas moyen d’y couper, il y a toujours un connard pour te le rappeler. As-tu bien récité ton (...)