Oui... mais j’ai l’impression que l’ennemi intérieur et la violence exercée à son encontre apparaissent comme des « dommages collatéraux », une espèce de nécessité pour la bonne marche de la politique en oeuvre, quand le sort de l’étranger un peu trop basané ne suscite lui aucune espèce d’émotion si ce n’est une indifférence totale... car ces gens là ne sont définitivement pas comme nous.
De toutes façons : y a du boulot les amis !