J’aime bien cet article sur Provo, assez positif et pas naïvement admiratif pour autant. Je préfère ça à la critique ultra-radicale de l’I.S publiée en son époque dans les pages de la revue du même nom (pas le souvenir du numéro). Et puis n’est-il pas nécessaire aujourd’hui de se pencher sur TOUS les mouvements « radicaux » de ce type ?