« Mais ça fait quand même de la peine de voir confondre systématiquement les mouvements coolos en France avec ce qui se passe ailleurs dans le monde (ne serait-ce qu’en Grèce, tiens). »
C’est juste : il n’y a rien de commun entre le mouvement des Indignés français (si tant est qu’il existe...) et son pendant espagnol ou grec. Les mettre dans le même sac revient, quelque part, à faire preuve, je le confesse, d’une certaine mauvaise foi.
Et ce que j’ai écrit correspond à ma vision des mouvements français et américain - le premier parce qu’il n’est qu’un gloubi-goulba n’ayant jamais décollé, le second parce (...)