dimanche 25 mars 2012 à 13h12, par Sébastien Navarro
Pourquoi pas les deux. Une forme de « romenquête ». Que les personnages soient réels ou non n’est pas important, ce qui l’est d’avantage c’est qu’ils et elles incarnent des parcours vérifiés par l’auteur/chercheur et qu’à travers leurs parcours, Mathieu dévoile la machine sécuritaire. Ce texte se lit comme un film de Peter Watkins : on essaie tout le long de se persuader que c’est une fiction alors qu’on sait pertinement que le réel sous-tend chaque ligne.