Je connais une fille de treize ans dont les « conversations » impérieuses se bornent souvent à une logorrhée régurgitant tous les clips qu’elle a vus, et qui engueule sa mère en reproduisant verbatim une pub pour pré-ados (c’est une copine qui l’a identifié ; quant à moi, sans télé, sans journaux à pub ni prospectus, armée d’Adblock Plus et de No Script, je rate plein de trucs).
Une chape de plomb, d’emblée, sur la seule chose qui nous soit propre : le langage.