mercredi 17 juillet 2013 à 14h44, par L’intendant zonard
Impossible de ne pas laisser un mot moi z’aussi, pour féliciter en fin de compte tous (Cyran, Mermet, ses victimes consentantes ou non) les protagonistes de cette affaire, car ma conviction c’est que tous sont d’excellents journalistes.
Cependant un journaliste n’est pas supposé être aussi un meneur d’hommes, ni un exemple montré au reste du monde, ni un être parfait entièrement cohérent avec son discours.
Comme le cas de Mermet semble assez sévère malgré tout, qu’on lui rappelle cette petite pensée qui va sur ses 2000 ans :
« Quelle place aurai-je donc dans l’État ? — Celle que tu peux avoir en (...)