Depuis quelque temps, j’ai appris à me méfier du terme : « extrême-droite ». J’ai longtemps été moi-même très porté à la facilité du combat basé sur ce terme fourre-tout dans lequel on imagine un grand sac où il y aurait tous les méchants qui, en gros, aurait une ideologie proche des nazis dont on ne retient le plus souvent que l’antisémitisme.
C’est une grille de lecture faussée, car l’extrême-droite s’est répartie dans plusieurs factions et Le FN n’est que la partie immergée de l’Iceberg, pas forcément la plus efficace politiquement, parce que la mieux identifié et sans réel pouvoir sur le pays en dehors de (...)