De Benoist semble incapable d’aller pêcher dans le passé (qu’il fréquente cela dit parfois plus sérieusement que beaucoup de « gauchistes ») autre chose que des vertus d’ordre et d’obéissance. C’est son lourd côté « de droite », qui le conduit très logiquement à fréquenter des Le Pen et des Soral. Tous ces gens-là confondent la moindre critique de l’autorité avec les errements du capitalisme mondialisé, sournoisement mais systématiquement assimilés par eux au nomadisme juif.
Ces « patriotes » sont à mille lieues de comprendre qu’on ne construira un « nouvel ordre » valable que lorsque on se sera passé aussi bien (...)