En un livre qui fait froid dans le dos, « Nauru, l’île dévastée », Luc Folliet raconte l’histoire triste et absurde d’un peuple du Pacifique qui a eu accès à des ressources incroyables, a plongé sans réfléchir dans la société de consommation et en meurt aujourd’hui à petit feu. Il y a deux semaines, il donnait une conférence à Paris. Retranscription des débats agrémentée d’extraits du livre.
L’histoire des Nauruans, les habitants de cette toute petite île d’une vingtaine de kilomètres carrés située au beau (...)