« L’ouvrage de James Guillaume (L’Internationale), qui m’a beaucoup servi pour écrire L’émancipation des travailleurs, décrit très bien cette euphorie de la rencontre, cette joie de débattre chez des gens qui ne pensent pas forcément de la même façon mais qui ont, au fond, la même aspiration »
Peut-être aurait-il fallu dire : « L’ouvrage de James Guillaume (L’Internationale), qui m’a beaucoup servi pour écrire L’émancipation des travailleurs, décrit très bien cette euphorie de la rencontre, cette joie de débattre chez des gens qui ne vivent pas ni ne luttent forcément dans les mêmes conditions mais qui ont, au (...)