C’est gentil de faire la leçon. Mais rassure-toi, pas besoin de mouchoir, les autres ne sont pas si naïfs. Plutôt conscients des limites de leurs actions (les Brigadistas) et surtout au fait quant à la mécanique du pouvoir, son caractère totalitaire, le peu d’espaces qu’il nous reste, et l’organisation par ce même pouvoir des marges contestataires. Tu questionnes la pertinence de l’ « action légale » face à cela. Tu l’opposes à une « action clandestine » pour reprendre tes mots. Quel absolu pour quelles situations ? Un autre débat.
En ce qui concerne l’observation des pratiques policières, du moment où ils, (...)