Oui, trois fois oui. Le devenir empaillé de l’écrivain est scandaleusement délaissé par nos soi-disant têtes pensantes universitaires. L’heure n’est plus aux empaillages encyclopédique (demi-mesure) mais à la véritable taxidermie, directe et joyeuse. C’est seulement ainsi que nous renouerons avec la littérature.
Et ce n’est pas ce magnifique Guide des manchots (http://ecx.images-amazon.com/images...) trônant dans mes toilettes (trouvé hier, 1 euro à Mona Lisait, si ce n’est pas une preuve de l’existence de Dieu, je veux bien me faire pendre) qui va te contredire. J’aimerais en empailler chaque page, au (...)