Les agents de la DCRI bénéficient de l’habilitation « secret-défense » et leurs actes de renseignement, leurs sources et leurs méthodes peuvent donc être couverts par cette confidentialité alors qu’ils peuvent être à l’origine de poursuites judiciaires.
Les structures et le fonctionnement de la direction sont couverts par le « Secret Défense ». Les services de la DCRI relèvent du seul directeur central du renseignement intérieur, à l’exclusion de toute autre subordination territoriale. (...)