j’y étais également. on oublie, comme toujours, l’essentiel : c’est la provocation des flics, comment ils ont monté un non-événement en « émeute » (pour faire le lien avec octobre 2005, l’ami oublie - mais comme tout le monde - que la veille tout était revenu au calme et que les keufs ont balancé une grenade lacrymo dans la mosquée remplie : alors là, comme insultes aux parents, pour faire monter la rage ils ont visé juste)
si on a latté ou pas le gars, je suis arrivé juste après, mais c’est la réaction et le nombre de flics qui se sont rapidement mis à envahir la gare qui est sidérante. Au début, une (...)