« Et donc, il adorait Charlie Hebdo, qu’il laissait bien en vue au boulot, au moment de la pause, histoire d’emmerder le magasinier bigot. »
Sauf que faire une généralité d’un cas particulier ne parait pas pertinent. En mars de l’an dernier et en Algérie j’ai conversé avec mes potes -des jeunes gens croyants pas bigots pour planter le décor à minima- ils sont remontés comme des coucous suisses contre les « barbus » et leurs parents (de mon âge) aussi. Il ont bien du mal à comprendre qu’un dessin de bigot se faisant enculer par une chèvre (ou le contraire je n’ai pas d’expérience en la matière) soit un coup (...)