Ton petit ton de donneur de leçon, cher Dom, commence à me chauffer les oreilles. Moi aussi je suis d’origine prolérarienne mais quand j’ai envie de lire de la poésie, je préfère me fier au stal Eluard ou si je veux de la belle prose, je préfère le grand bourgeois Proust ou l’antisémite Céline, que les cartes postales de ma merveilleuse maman femme de ménage. Quant à mon attitude vis à vis du milieu polareux, c’est justement parce que j’ai refusé de me plier au catéchisme débile de quelques uns de ses chefs que je reste très marginal par rapport à ce milieu (voir mon texte « La loi du milieu »’ sur mon site (...)