vendredi 28 octobre 2011 à 16h04, par George Weaver
Je réponds tout simplement au même niveau que toi : je ne vois pas en quoi dire que « les libertaires ont compris et montré les affinités existantes avec les visions du monde d’auteurs aussi négligeables que Leibniz et Spinoza par exemple » est plus argumenté que de traiter Leibniz de cureton qui « ne s’affaire qu’à une chose : défendre l’ordre existant ».
Je ne me sens pas plus esthète (même « de nœud », comme dirait l’ami Boby) que toi et ne prétends certes pas à l’omniscience, mais il se trouve que j’ai un peu étudié la question : je serais ravi d’apprendre en quoi des libertaires peuvent retirer quoi que ce (...)