Ah ben enfin ! -------------------------------------------
A noter aussi que LKJ en plus de représenter un reggae « à l’anglaise », plus dub, plus profond, bien que peut être moins innovant que celui de certains compatriotes bidouilleurs de l’époque (tel ce guerrier zoulou), est le premier à donner ses lettres de noblesse (poético-prolétaires) au patois jamaicain et au phrasé rasta.
Une langue construite contre les incohérences de celle de l’homme blanc, imposée aux ancêtres. (...)