Oui, c’est un aspect de la politique éditoriale d’article 11 que j’ai du mal à comprendre. Que l’on fasse des choix éditoriaux et que l’on publie ce qu’on veut, c’est tout à fait normal. Mais lorsqu’on organise un débat autour d’une controverse, la moindre des choses est que les deux points de vue soient présentés. Quitte à ce qu’Article 11 prenne parti pour l’une des thèses.
Dans un cas (« l’affaire Mermet ») on a un article plutôt à charge, mais pas la réponse de l’avocat (Ruffin). Dans le cas de Carles, on a la réponse mais pas ce à quoi il est répondu. (...)