Il n’y a pas anguille sous roche. L’expulsion est même revendiquée par tracts par la municipalité, ainsi que le raconte Rue89 :
"Parmi les manifestants, il y avait aussi quelques habitants de Bagnolet, indignés par un tract que la mairie a tiré à 18 000 exemplaires et distribué dans les boites aux lettres du quartier.
Cette « déclaration de la municipalité » relaie une réalité totalement différente de celle que présentent les militants des différentes associations :
« Il est avéré que ce squat était devenu un lieu de trafic de drogue, de voitures, de prostitution, de tapage nocturne incessant qui durait (...)