Je ne sais plus quoi dire. Sinon peut-être que je pense à Mohsin, à Laramy, à Lamine, à tout ce que leur prénom colporte désormais de silence. Leur silence contre l’autre, sourd, qui couvre le bruit des mascarades et puis le cliquetis, tic-tac, tactique de gendarme, qu’il suffit de tendre l’oreille pour percevoir dans le vacarme métallique et glacial des rouages trop bien huilés.
La mécanique de l’orange, sans doute.