C’est un peu caricatural des deux côtés, non ? Ma première « confrontation » pacifique avec la police, c’était à Strasbourg, lors d’une manif. Je suis courtoisement (ou presque) interpellé par un policier et j’explique que j’étais là pour Uss’m Follik (Issu du Peuple, tout un programme). « Ah, tiens, mais vous l’avez bien arrangé, le commissaire *** » (total oublié son nom). Ce fut ma première garde à vue.
Depuis, effectivement, j’ai constaté que, invités aux pinces-fesses, relativement mieux payés que d’autres (je parle de celles et ceux en poste, avec une bonne convention collective), les journalistes avaient (...)