mercredi 30 novembre 2011 à 22h50, par pièce détachée
Il me semble que nos imaginaires, nos mémoires, nos symboliques forment un monceau de verre pilé, face à des corp(u)s de croyances bien douillets en tous leurs accessoires (vestimentaires et doctrinaux aussi bien). Le billet sans anesthésie de Mathieu K. le montre avec beaucoup de dignité (l’ampleur de la catastrophe se révèle dans la diarrhée des commentaires venus le « soutenir » : jamais rien vu d’aussi trash & troll sur le forum d’A.11).
Là-dedans, Ernest Pignon-Ernest ne nous fait (re)croire en rien mais garde tout le reste en donnant corps (corps escamotés, corps d’une ville, ombres (...)