« Contrairement à ce qui a été expliqué pendant des mois, l’entrée en fusion des trois réacteurs n’a pas été provoquée par le tsunami [...]. L’arrivée d’une grande vague de 13 mètres de hauteur, plusieurs heures après le séisme, n’a inondé que la partie basse des bâtiments. Selon une procédure automatique prévue à l’avance, les réacteurs (le numéro 6 étant en révision depuis plusieurs semaines) ont été brusquement mis à l’arrêt au moment du séisme de force 8,9 sur l’échelle de Richter alors que les prévisions et les précautions de l’opérateur n’avaient envisagé, avec l’accord des autorités de sûreté japonaises, qu’un (...)