Bonjour,
Je suis sensible à vos arguments, mais sur la « pauvreté » de certaines langues, n’est-elle pas objective, à un moment donné et sur des critères précis ? Par exemple, la langue anglaise me semble actuellement la plus riche pour décrire les activités financières et en parler. Il y a, dit-on, des langues sans mot pour dire les nombres un peu grands. Il y a des concepts de théologie exprimés dans le latin médiéval et qui sont devenus inexprimables, etc.