Eh oui, c’était bien de Guy Debord.
Mais... à lire le beau texte de Lémi, il me revient comme des écharpes de souvenirs, brume inquiétante de mes vingt ans. Je disais la même chose... il y a presque quarante ans. Nous constations déjà la gentrifrication (on causait français, nous, on disait « embourgeoisement ».) Et puis, à lire Lefebvre, Chevalier, Pillement, on se rendait compte que le mouvement avait débuté dès le dix-neuvième siècle, que dès cette époque, on avait tendance à repousser les classes dangereuses au-delà des fortifs. Quant au vandalisme architectural, relisez la préface de Victor Hugo à Notre (...)