Le problème de la modération à priori, c’est que les débats ne peuvent pas avoir lieu sans un superviseur qui est peut-être malade, occupé sur le journal ou à boire du rosé... Ce qui nuit à la vitalité d’un échange, qui tombe parfois à trois heures du mat’ parce que deux noctambules se croisent au bon moment, ou autres coïncidences heureuses.
Mettre des coups de ciseaux de temps, après coup, aux heures qui les arrangent, me paraît plus raisonnable. A la fois, ça nettoie les chieurs, et je leur fait plutôt confiance pour ça. Et en même temps, ça n’empêche pas un certain dynamisme indépendant de leur (...)