Vous écrivez « Et quand deux ans auparavant [donc en 1964], il a rencontré Guy Debord à Strasbourg pour lui proposer de travailler avec l’Internationale situationniste, Debord, qui avait dit tout le bien qu’il pensait de son livre « Propagandes », a botté en touche – c’est qu’Ellul souffre d’une tare supplémentaire, il est croyant... » Il y a là une erreur spatio-temporelle : Debord n’est jamais allé à Strasbourg et encore moins en 1964. En revanche, Debord a bien rencontré Ellul mais à Paris et en 1962 (extrait de la « Correspondance » de Debord, vol. 2 p. 177) : « Mes “échanges” avec Ellul, c’est un bien (...)