C’est effarant les réponses hostiles, notamment celle du journaliste. C’est là où l’on voit qu’un journaliste n’est jamais qu’un vulgaire auxiliaire de police. L’auteur a totalement raison ; ce qu’il écrit est d’une belle honnêteté. Voilà qui fait du bien par ces temps moroses d’électionnites démomocratiquetiquetiques absurdes. Personne ne lui reprochera son anonymat, sauf les flics et les journalistes évidemment. Je nous souhaite d’être des milliers de casseurs comme lui, hyper sympa (...)