Il manque un truc dans la démo. C’est que, à considérer le phénomène humain sur une telle échelle de temps, on ne peut pas négliger le fait que notre espèce est elle-même le produit de la nature. Si donc quelque chose a déconné quelque part, ça se situe entre évolution cérébrale et évolution biologique. La nature a permis qu’une espèce modifie assez rapidement son comportement pour que les autres n’aient pas le temps de s’adapter. Ni l’espèce concernée, du reste, elle aurait dû perdre de son agressivité d’origine biologique à mesure que se développait son « intelligence ».
Je ne veux pas excuser l’espèce (...)