Sans tomber dans la parano galopante, il me semble que ce constat d’absurdité, d’égoïsme et de m’enfoutisme s’applique à l’ensemble du monde du travail - logique puisque gangréné par le capitalisme. Il est de plus en plus évident, lors d’entretiens d’embauche, et dans de nombreuses branches différentes, que ce qui compte n’est plus l’honnêteté ou l’envie de faire du bon boulot, mais de donner des gages d’allégeance (attitude, façons de parler, empressement à montrer qu’on est prêt à cirer des pompes ou à gober n’importe quelle couleuvre) à cette société débile, enflée comme une panse de cadavre, et (...)