Bien sûr qu’on va pas se foutre sur la gueule. Mais on reste en désaccord sur le fait que le grand problème de la manif de Rome, ce serait la violence, qui l’aurait desservie. Je te renvois au texte que nous avons écrit à chaud, Sergio Bianchi et moi, que tu peux lire sur mon blog. Je pense que les lamentations sur la violence servent surtout, chez beaucoup d’indignés, à se masquer leur incapacité, peut-être provisoire, mais en tout cas évidente dans cette manif, à avancer des projets et des pratiques qui sortent de l’impuissance de l’indignation. Tant qu’on n’aura pas d’autre perspective que de (...)