Et rêver d’un monde où fleuriraient les gros enfoirés : non pas un, mais deux, trois, des centaines d’Ignatius !
Une perspective choucarde, mais qui à mon avis se heurte à de sérieuses difficultés logistiques. Le gros enfoiré, il faut l’élever, et comme le poulet de Bresse ça prend du temps : une bonne trentaine d’années à ne rien glander devant la télévision, pendant que maman prépare à manger et lave les douteux caleçons.
Où tu vas en trouver des Madames Reilly prêtes à ce sacerdoce (...)