C’est vrai qu’il faut se méfier de ce type d’argument. Disons que si Blanrue publie réellement un bouquin sur Faurisson en 2011, je mangerai mon chapeau sans baraguiner : je sais reconnaître mes erreurs.
Mais, encore une fois, les photos m’interpellent, tout autant que le choix du même avocat que Faurisson. Ça fait beaucoup.