Bien vu. C’est grâce à l’homme moderne que j’ai découvert le texte de Bourdieu. Merci donc, et merci encore pour la petite citation de Platon dans l’article que tu avais posté sur la question en 2009 sur ton blog, ça m’évitera de lire le vieux croûton dans son ensemble (with all due respect).
La bise