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Us et coutumes de l’espèce policière en territoire québecois

jeudi 6 juin 2013 à 17h26, par Régine Foglia

« Les oreilles vont et viennent rapidement d’avant en arrière, en se croisant parfois dans les cas les plus désespérés. Lorsque le bruit est identifié, ce qui se fait lentement dans un cerveau habitué à pédaler à vide, le policier garde obstinément les oreilles pointées et la tête haute, son front veiné comme une pierre. Puis [...] il baisse la tête et continue à cogner le sans-abri ou l’étudiant coincé entre ses jambes. » Le printemps 2012 (surnommé érable) a été chaud à Montréal. Tout d’abord grève (...)


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