C’est tellement émouvant de voir l’immédiate reculade souriante devant la voix du mâle autoritaire et dominant, surtout pour parler de mon supposé racisme « pathologique ». Le ton docte et sur de soi après l’à-plat-ventrisme, c’est tellement crédible, je trouve.
Le « littérateur » imagine des scènes gratuites, comme ça en dehors de tout, politique ou autres, comme par hasard sexistes à mort (c’est le cas de le dire), et c’est de l’art. Bein voyons.