Je partage les réserves émises sur l’usage de l’expression « groupuscule extrémiste » : elle appartient à la langue dominante qui regroupe sous la même appellation les « extrémismes », c’est à dire aussi bien les ratonneurs de bougnoules et de pédés que les opposants radicaux à Notre Dame des Landes et à son monde, Clément Méric et ses assassins.