Merci pour cette remise en question. Je vous lis depuis longtemps, j’achète votre version papier depuis le début (je tenais à dire que votre dernier numéro à donné lieu à de belles conversation entre collocs et nous à fait franchement plaisir), mais j’ai abandonné les commentaires car effectivement ils sont parfois trop peu constructifs, ou trop agressifs. Vos ciseaux ne me font pas peur, et je pense que vous en ferez bon usage. Merci de continuer comme ça. Et vive les bisounours, gloire à leur (...)