Je remarque qu’à chaque fois que Martin Scriblerus porte des arguments de fond, on les esquive et on répond par de l’anathéme. Voilà comment je comprends le débat en cours. Il est reproché à Escudero de modifier son discours selon les espaces, et si l’inteview - consensuel - ne pose guère de probléme à priori, ses critiques dénoncent son livre et ses positions précédentes. Il est reproché aussi au journal d’avoir opté pour l’interview promotionnel avec un droit de réponse différé, plutôt qu’un dossier fouillé avec contradiction auquel on aurait pu s’attendre. Lorsqu’Escudero dénonce tout le mouvement LGBT (...)