La même question se pose pour tous les auteurs « radicaux ». Est-ce parce que la vieille génération s’intéresse pas à la chose, née assez récemment, et qu’ils n’ont pas nécessairement le temps de s’occuper de la gestion de leurs droits ? Il est vrai qu’une publication en gauche d’auteur ne nuirait certainement pas à la vente du bouquin comme dans le cas du Wu Ming. Dans ce cas ce ne sont pas les éditeur français qui sont responsables, mais les détenteurs des droits anglo-saxons... quoique c’est peut-être négociable. Qui plus est, il est vrai que la protection ne peut pas empêcher une personne, par exemple, (...)