Seul un puissant mouvement « de classe », « anticapitaliste », pourrait ne serait-ce qu’imposer des concessions aux capitalistes, comme c’est le cas en Bolivie ou au Venezuela.
C’est là que je crains une rechute. En effet, dans une des qqs interviews de tunisiens que j’ai entendues, un manifestant affirmait qu’il n’y avait « ni islamiste, ni gauchiste dans la révolte », ces deux « horreurs » qu’il fallait à tout prix combattre, seul argument qui « justifiait » la dictature de Ben Ali, en tout cas aux yeux de cet abruti de Barbier et d’autres comme on peut le lire dans le lien que j’ai collé plus haut vers (...)